Basketball Centrafricain: Assemblées ordinaires et électives reportées aux calandres grecques
Le 24 Mai 2014, le bureau fédéral maintenant présidé par Monsieur Oumarou SANDA BOUBA a décidé séance tenante de reporter l’assemblée générale élective, sans un communiqué officiel sur les raisons de ce fiasco jusqu'à ce jour 03/06/14. Soit 10 jours passés. Après avoir fait signer à chaque candidat chez le procureur de la république, un protocole de bonne conduite, il y a lieu de s'interroger sur le nombre de préalables rien que pour participer à une assemblée élective d'une association sportive.
Selon les propos de la responsable de communication sur son mur Facebook, le motif invoqué était "Faux et usages de faux" constatés sur les mandatures des représentants des ligues de provinces, qui ont pour coutume de faire et défaire les présidents de la fédération Centrafricaine de Basketball. Encore une fois, le secrétaire général adjoint de la fédération Monsieur Narcisse Dekezandji très actif dans ce complot a confondu vitesse et précipitation. Pour quelle raison ???
Pourquoi le Secrétaire Général de la fédération, actuellement président par intérim selon les statuts ne fournit pas aux médias de la place un communiqué officiel, expliquant les motifs de ce énième report, mais surtout aux différents candidats pour prendre acte de cette décision ??? Les paroles s'envolent mais les écrits demeurent cher président par interim.
Mr SINGHA, Mr MARBOUA et chers correspondants, l'heure est grave et nécessite beaucoup d'engagements que verbaux!!!
Le cataclysme que vous et nous venons de décrier haut et fort ne date pas d'aujourd'hui, et comme vous pouvez le constatez, nous avions eu au moins le courage de leur dire le fonds de nos pensées pour faire grandir notre sport sans souvent se cacher autour des discussions de quartiers. Le comble de cet équivoque, demeure le silence de tous les dirigeants sportifs et amoureux de cette discipline qui ne veulent pas en decoudre avec ces veilles pratiques pour de multiples raisons, dont la PEUR, l'égoïsme, le mépris et l'indifférence font partie, exiger l'assemblée ordinaire.
Au silence des passionnés s'ajoute le mutisme de l'ensemble du bureau fédéral démontrant une fois encore l'étendue de leurs incompétences, leurs manques de bon sens et surtout leurs impréparations dans cette mascarade d'assemblée générale élective, qui ne pourrait avoir lieu sansL'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE, afin que leur bureau actuel présente leurs bilans d'activités de mi-mandat. Sinon pourquoi adresser des rapports rafistolés aux présidents de clubs si ce n'est pour eclairer leurs lanternes.
Même si les approximations ne sont plus à démontrer, les candidats aux différents postes à l'exemption de Monsieur Guy Maurice LIMBIO qui d'entrée de jeu a clairement martelé ses objectifs, AU LIEU DE RENDRE PUBLIC LEURS PROGRAMMES ET PROFESSIONS DE FOI, se taisent dans une fébrilité qui ne dit pas son nom et qui fait peur, face aux grands enjeux et reformes que requierent notre sport national pour sortir de sa turpitude. Le basketball centrafricain ne se relèvera qu'avec des hommes dignes de bonne foi, probes et intègres où aucuns arrangements de quartiers ne montreront la vision transparente, et surtout le cap à atteindre pour entrainer la révolution nécessaire attendue.
De tels comportements poussent notre défense anti aérienne à s'interroger, s'ils auront l'audace une fois leurs rêves atteints, d'affronter un jour les Dieux du Sport Centrafricain pour leurs demander le rapport technique et financier ???, mais surtout le remboursement des frais de missions indument perçus 800 000 FCFA chacun par Monsieur Gilles Gilbert GRESENGUET et Monsieur Adolphe MOKONGO, notre, pharmacien, médecin, kinésithérapeute, vice président de la Fiba zone IV et Trésorier du CNOSCA ??? La lourde tâche vers la lumière financière au sein du basketball Centrafricain ne doit offrir aucune place aux improvisateurs, situationnistes, et autres véreux sans visions, habitués des coups bas et changement régulier de vestes selon le sens du vent pour s'accrocher au bon wagon.
Les exemples des combats à mener sont nombreux à l'image du flou sur la gestion des 22 millions FCFA remis par l’état centrafricain pour la sortie du club TONDEMA à Kinshasha et la dernière subvention allouée par la solidarité olympique environ 65 millions FCFA, des déclarations mensongères opposées aux règlements de la FIBA du vice président de la zone IV et du Secrétaire Général de la fédération à la radio qui ne figurent guère dans le document joint ( règlement FIBA 2010-2014) préméditant une volonté haineuse à se séparer des entraîneurs, et le mariage de certains dirigeants avec le CNOSCA qui logiquement n'a plus aucune légitimité de diriger cette instance olympique nationale.
Le cataclysme que vous et nous venons de décrier haut et fort ne date pas d'aujourd'hui, et comme vous pouvez le constatez, nous avions eu au moins le courage de leur dire le fonds de nos pensées pour faire grandir notre sport sans souvent se cacher autour des discussions de quartiers. Le comble de cet équivoque, demeure le silence de tous les dirigeants sportifs et amoureux de cette discipline qui ne veulent pas en decoudre avec ces veilles pratiques pour de multiples raisons, dont la PEUR, l'égoïsme, le mépris et l'indifférence font partie, exiger l'assemblée ordinaire.
Au silence des passionnés s'ajoute le mutisme de l'ensemble du bureau fédéral démontrant une fois encore l'étendue de leurs incompétences, leurs manques de bon sens et surtout leurs impréparations dans cette mascarade d'assemblée générale élective, qui ne pourrait avoir lieu sansL'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE, afin que leur bureau actuel présente leurs bilans d'activités de mi-mandat. Sinon pourquoi adresser des rapports rafistolés aux présidents de clubs si ce n'est pour eclairer leurs lanternes.
Même si les approximations ne sont plus à démontrer, les candidats aux différents postes à l'exemption de Monsieur Guy Maurice LIMBIO qui d'entrée de jeu a clairement martelé ses objectifs, AU LIEU DE RENDRE PUBLIC LEURS PROGRAMMES ET PROFESSIONS DE FOI, se taisent dans une fébrilité qui ne dit pas son nom et qui fait peur, face aux grands enjeux et reformes que requierent notre sport national pour sortir de sa turpitude. Le basketball centrafricain ne se relèvera qu'avec des hommes dignes de bonne foi, probes et intègres où aucuns arrangements de quartiers ne montreront la vision transparente, et surtout le cap à atteindre pour entrainer la révolution nécessaire attendue.
De tels comportements poussent notre défense anti aérienne à s'interroger, s'ils auront l'audace une fois leurs rêves atteints, d'affronter un jour les Dieux du Sport Centrafricain pour leurs demander le rapport technique et financier ???, mais surtout le remboursement des frais de missions indument perçus 800 000 FCFA chacun par Monsieur Gilles Gilbert GRESENGUET et Monsieur Adolphe MOKONGO, notre, pharmacien, médecin, kinésithérapeute, vice président de la Fiba zone IV et Trésorier du CNOSCA ??? La lourde tâche vers la lumière financière au sein du basketball Centrafricain ne doit offrir aucune place aux improvisateurs, situationnistes, et autres véreux sans visions, habitués des coups bas et changement régulier de vestes selon le sens du vent pour s'accrocher au bon wagon.
Les exemples des combats à mener sont nombreux à l'image du flou sur la gestion des 22 millions FCFA remis par l’état centrafricain pour la sortie du club TONDEMA à Kinshasha et la dernière subvention allouée par la solidarité olympique environ 65 millions FCFA, des déclarations mensongères opposées aux règlements de la FIBA du vice président de la zone IV et du Secrétaire Général de la fédération à la radio qui ne figurent guère dans le document joint ( règlement FIBA 2010-2014) préméditant une volonté haineuse à se séparer des entraîneurs, et le mariage de certains dirigeants avec le CNOSCA qui logiquement n'a plus aucune légitimité de diriger cette instance olympique nationale.
L'histoire aujourd'hui a rattrapé beaucoup qui nous déconseillaient de notre insurrection pour nous mener dans des pièges à rats en nous orientant d'attendre les assemblées ordinaires pour débattre de tous ces maux. Hélas, d'après les constats, on ne veut plus entendre parler de l'assemblée ordinaire au bénéfice de l'assemblée élective, dont les raisons de choix qui mènent à l'abreuvoir ne sont ou ne seront pas clarifiées. Le tout sous le silence absolu des responsables des clubs méconnaissants les lignes des textes, qui ont lu les rapports incohérents de mi mandat dans lesquels sont totalement omis les aspects de la subvention olympique et leurs conséquences. Comment alors comprendre ce volte face de ne pas exiger d'abord
L'assemblée ordinaire pour neutraliser ce capharnaüm à travers des dispositifs d'éloignements de ces fauteurs de troubles et leurs acolytes qui sont obnubilés que par l'assemblée élective ???
Avec ce report à la demande de la ligue de basketball de Bangui qui a formulé une missive claire de sommation au bureau féderal (voir PJ) dont le secretaire général Monsieur LEDO Bob a fait savoir au trésorier de la féderation sur les ondes de la radio Ndeke luka dans sa méconnaissance des textes et fuite en avant face aux réelles interrogations, démontre que faire le bilan de leurs mandatures préalables à une quelconque élection est d'entrée la priorité des priorités et un pré-requis moral.
On s'interroge finalement sur la tenue fort désirée des assemblées ordinaires et électives, qui initialement précipitées et prévues le 17 Mai 2014 auraient eu lieu sans un comité de validation des mandatures. Nul n'aurait été la cascade de démissions des 1er et 2ème vice présidents ce recul express serait il du à une tête pensante qui est indésirée par les membres actuels du bureau fédéral qui se retrouveraient coincer par une injonction judiciaire à payer !!!
Par conséquent, je suggère aux clubs et à la ligue d'être très très vigilants et d'éviter au basketball Centrafricain, une nouvelle souffrance à ciel ouvert qui est clairement visible en IMPOSANT aux candidats sans exceptions, de fournir au préalable, leurs programmes d'actions et leurs motivations comportant les démarches de clartés sur les subventions Olympiques et de l'état, afin de comprendre d'emblée, s'ils aspirent franchement à défendre les intérêts du basketball, plutôt que d'autres intérêts. Tous refus de se prêter à cet exercice n'est pas un bon signe et doit être sévèrement sanctionné lors des votes. A défaut, apprêtons nous à revivre un bis repetita qui fera des larmoiements eternels.
Bien à tous sportivement,
Lucien MBOMBA DÉBAT
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