Jean de Dieu Mageot promet de faire du basketball centrafricain un vecteur de la paix
Le nouveau Président de la Fédération Centrafricaine de basket-ball, Jean De Dieu Mageot a promis de faire de cette discipline sportive collective un vecteur de la paix et de cohésion sociale, lors de son élection à la tête de la Fédération Centrafricaine de basketball pour un mandat de deux ans, samedi 5 juillet 2014 à Bangui.
Pour le Président Jean De Dieu Mageot, son plan d’action s’articule autour de la formation des encadreurs techniques, la relance du championnat féminin, la réhabilitation des infrastructures sportives et la mise en place des équipes nationales. Ce plan d’action devant permettre à cette discipline de retrouver sa lettre de noblesse.
Voici la composition du bureau fédéral :
Président : Jean de Dieu MAGEOT
1er vice Président : Fiacre NDINGATOLOUM
2ème Président : Cécille Digo KOLINGBA
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine est classée 13ème rang lors du dernier Afro basket 2013 déroulé à Abidjan en Côte d’Ivoire.
Basket : Jimmy Djimrabaye, intérieur de 22 ans, rejoint Le Portel
Natif de Bangui, international centrafricain, Jimmy Djimrabaye (2,02 m – 22 ans) a démarré sa carrière française en 2009 à la JA Vichy (Espoirs Pro A – NM3 et Pro B) avant d’être prêté au BCM Gravelines – Dunkerque. Leader des espoirs du BCM en 2012 / 2013 (14,7 points à 46 % aux tirs – 5,9 rebonds – 1,8 interceptions en 29 mn/match), vainqueur du Trophée Coupe de France, il a rejoint l’été dernier Denain en Pro B (2,9 points – 2,2 rebonds).
Solide, travailleur en défense, il est également capable d’apporter des points dans la raquette mais aussi à l’extérieur. « Jimmy est un intérieur mobile et athlétique, estime le coach, Eric Girard. Formé au BCM Gravelines et ex-coéquipier de Mathieu Wojciechowski en espoirs, il est devenu pro à Denain la saison dernière. Il intègre notre groupe et clôturera ainsi le recrutement au niveau des JFL. »
Le club souhaite maintenant recruter trois Américains, un combo-guard et deux intérieurs. Selon nos confrères de Catch and Shoot, l’ESSM serait sur la piste (avancée) de Wilbert Brown, qui fut le meilleur scoreur de Pro B avec 21,3 points de moyenne sous les couleurs d’Aix-Maurienne en 2012-2013. Poste 3-4 âgé de 30 ans (1,99 m), Brown sait tout faire : attaquer le cercle, cueillir des rebonds offensifs, marquer à distance. Alors, info ou intox ? À suivre
Basketball: assemblées générales ordinaires et électives placées sous hautes tensions à Bangui?
«Seule la convergence de nos efforts menant au développement de nos activités sportives en Centrafrique par des actions et projets novateurs doivent demeurer notre priorité»
En effet, C'est dans ce climat délétère où l'irresponsabilité et le bon sens ne font pas bon ménage que le CNOSCA pour voler au secours de ses défenseurs afin de préserver certainement à leurs intérêts chiches, que ce trio nuisible du sport centrafricain (Jacob GBETI, Gilles Gilbert GRESENGUET et Adolphe MOKONGO) ont décidé en force d'organiser sans concertation des clubs et les ligues, ces assemblées au sein de leur établissement afin d'imposer leurs rejetons et empêcher de facto la sollicitation des rapports techniques et financiers. Le CNOSCA, co-responsable aigu de l'échec d'Abidjan ne pouvait organiser cette assemblée dans sa salle de conférence pour les faits reprochés suivants :
- Refus de la mise à disposition de la fédération, le rapport technique et financier
- Refus de la mise à disposition des packs d'eau et des produits de premières nécessités
- Refus de la mise à disposition des factures et pièces justificatives de la subvention olympique
- Refus de s'expliquer sur le regroupement des joueurs 4 par chambre à Ouagadougou comme des sardines dans une boite de conserves
- Livraison des équipements sans ballon de basketball comme si un chasseur partirait dans la forêt sans son harpon ou son arc
- .... La liste est longue et les faits reprochés sont d'une extrême gravité que seuls les dirigeants des institutions centrafricaines peuvent accepter un tel supplice où des fils de la nation ont été salis et humiliés sans que le plus grand nombre se révolte prétextant la sévérité de la vie actuelle face à leur bourreau du CNOSCA. Il semble évident que cette assemblée au sein du CNOSCA à vocation à museler tous ceux qui avaient des faits et actes à leur reprocher. Le mélange des genres, le trafic d'influence et la violation du secret de l'assemblée générale d'une association sportive qui chercherait à se désolidariser du CNOSCA, ne peut accepter de se regrouper dans cette antre.
Cependant cette tactique malicieuse du CNOSCA pour se démarquer auprès du CIO aurait un plusieurs intérêts :
- Jouer son rôle de conciliateur et d'arbitre
- Démontrer son arrogance vis à vis des abusés et son rapport de force avec la fédération centrafricaine de basketball
- Montrer leur impartialité dans une division qu'ils ont semé
- Reconstruire une institution qu'ils ont détruite
- Renégocier des subventions de fonctionnement auprès du CIO
Pour manifester et amplifier notre ras le bol, l'ancien président du club Hit Trésor et ancien président de la fédération Elvis Bomayako à qui, il convient de le notifier est le représentant et porte-parole du candidat de la défense anti aérienne au poste du 1er vice-président, Monsieur LIMBIO Guy Maurice, s'exprimera à cet effet sur les ondes de la radio Ndéké Luka durant les tranches des informations de 6h à 7h, heure de Bangui. Les dirigeants des clubs et des ligues devront en toutes âmes et consciences protester en bloc contre de telles vilenies et opter pour des candidats aptes et probes à colmater les brèches éparpillées par ce désordre pour permettre à notre sport roi de divorcer avec le gangstérisme financier.
Seule la convergence de nos efforts menant au développement de nos activités sportives en Centrafrique par des actions et projets novateurs doivent demeurer notre priorité. Dans cette impasse volontaire, seule la culture de nos différences pourra être le fer de lance nous conduisant vers le même idéal : La pratique d'un sport sain dans un milieu propre et transparent. Face à ce gigantesque tombeau creusé à ciel ouvert par le CNOSCA, leur allié outre-mer et le bureau fédéral actuel à dessein de museler et d'ensevelir le basketball centrafricain où leur petit intérêt personnelle prime par rapport aux intérêts des sportifs.
La défense antiaérienne TOLERANCE ZERO dénonce cette implication nuisible du CNOSCA à vouloir cette main mise sur le Basketball Centrafricain. Elle avise et met sévèrement en garde sur les conséquences néfastes d'un trucage prémédité les autorités de Bangui, les dirigeants sportifs, les instances mondiales du basketball informées depuis bientôt un an par nos plumes et les commanditaires de ce désastre orchestré de toute pièce ayant lourdement empêché la reprise des activités sportives dans notre pays.
Nous dénonçons avec force que ces assemblées ne peuvent avoir lieu sans la présence de Monsieur DAMANGO Éric à moins que cela s'apparente à une démission ce qui rendrait le bureau actuel avec seulement 2 membres actifs Monsieur Oumarou SANDA BOUBA et Narcissse DEKEZANDJI. Le trésorier Général en restant sur le territoire français qui expliquera les 150 millions disparus dans la nature comme une fumée de cigarette. Toutes les conditions ne sont réunies pour cette mascarade cependant les représentants des clubs et les ligues devront débattre sans langue de bois, mettre en exergue les multiples incompétences, tares et malversations commises pour que les auteurs quittent définitivement le navire comme Donald Sterling en NBA et pousser les véreux à répondre devant la justice pour les faux qui leur sont reprochés. Au pire des cas, le dernier mot reviendra aux sportifs qui se réserveront le droit de refuser de jouer tant que la transparence ne régnera pas autour d'eux et leur institution. Sans cela, le basketball centrafricain ne renaîtra pas de ces cendres.
Toutes ces agitations dont le but est de partir en tournoi zonal IV pour se goinfrer encore et encore des frais de missions qui équivaut à une année de salaire pour bon nombre de ces brêles pensant multiplier leur mise dès Tunis 2015. Maintenant que les instances suivent avec soin ce dossier, nous verrons bien quels schémas tactiques et sciences infuses qu'ils emploieront pour hypnotiser le ministre Léopold BARA bien aguerri pour l'en fariner comme des crêpes afin d'avoir des nouvelles dotations de l'état sans justifier les précédentes qui font couler tant d'encres et de salives.
La patrouille perçoit que la mafia cette fois-ci, toujours aveuglée et impunie n'est pas encore en faculté de comprendre les conséquences des expériences vécues à l'image de l'effet indésirable d'un piment rouge dans les yeux qui ne peut que les rougir
(Ala adè a ba yéso si Ndongo a ba, si a bè apè). On en reparlera, trop parlé peut tuer ! Gué sô, akè gougou lassi akè sigui na kèkè!
Basketballistiquement,
Pour la défense antiaérienne TOLÉRANCE ZÉRO des sportifs abusés.
Par Lucien Mbomba Débat
Cyclisme : Un trophée à l’issu du tour de la RD Congo
La RCA a remporté le trophée de la combativité décerné par la Commission de discipline de la deuxième édition du tour de la République du Congo. La compétition a pris fin mercredi dernier à Kinshasa. Quatre cyclistes centrafricains ont participé à cette course du 18 au 25 juin.
Le secrétaire de la Fédération centrafricaine de cyclisme, Aimé-Paul Kourassy a déclaré que les représentants centrafricains se sont bien comportés. Malgré les difficultés de matériels, ils ont franchi la ligne d’arrivée.
« Les cyclistes centrafricains se sont bien battus malgré les difficultés de matériels que nous avons connus. Il n’y a pas eu d’abandon ni de hors délai. Par rapport à la combativité de nos athlètes, la commission a jugé mieux de nous décerner un trophée de combativité », a souligné Aimé-Paul Kourassy depuis la capitale Congolaise à RNL.
Cyclisme : Des Centrafricains à l’arrivée de la course en RDC
La dernière étape de la 2ème édition du tour de la République démocratique du Congo s’est déroulée ce jour mercredi entre la ville de Bandoumbé et la capitale congolaise Kinshasa, une distance de 120 Kms. Quatre cyclistes centrafricains maintiennent toujours leurs positions dans la course.
« La dernière étape va se parcourir sur une distance de 120 Kms. L’arrivée sera jugée à la place du défilé ‘‘Ukata’’. Tous les quatre coureurs sont encore en compétition, aucun d’entre eux n’a été disqualifié, ils seront sur la ligne d’arrivée », a expliqué Aimé-Paul Kourassy, le secrétaire général de la Fédération centrafricaine de Cyclisme.
Lors de la 1ère étape de cette course distante de 135 Kms, le Centrafricain Lopez Doyama a occupé la 35ème place parmi les 18 pays en compétition. Le départ de l’événement a été lancé le 18 juin dernier avec la participation de 166 cyclistes africains et européens.
Lionel Bomayako: «je souhaite la réconciliation et le pardon pour tout un chacun»
L’international centrafricain qui achève de belle manière sa saison suisse, participait à un match gala solidaire en faveur des populations de son pays
Qu’est-ce qui vous a motivé de la sorte à mouiller le maillot pour la paix dans votre pays?
Pour moi, c’était naturel, humblement, je peux dire que mon pays m’a beaucoup donné. J’ai été béni d’être en équipe nationale pendant douze années. Je suis toujours professionnel, et je pense que c’est le moment de redonner aussi au peuple, parce que dans toutes les phases de l’évolution de ma carrière, j’ai pu voir, un pays uni. J’ai commencé en tant que jeune, pour finir en tant que capitaine de l’équipe nationale, j’ai pu voir des vestiaires unis même si ma génération n’a pas gagner de coupe africaine, nous avons gagné de grandes batailles. J’ai pu voir un vestiaire uni avec des joueurs de tous les horizons, où il y avait tout le monde, puisqu’on parle de communauté. Ce que je dis, je l’ai vécu. C’est la première fois que je m’investis dans un projet comme celui-ci, qui est vraiment convainquant et qui sert une bonne cause. L’image que j’ai des vestiaires est que nous sommes unis et pouvons poser des actions ensemble. Aujourd’hui, cela ne peut que passez par là. C’est-à-dire, la réconciliation, le pardon et la paix.
Est-ce si facile ?
Ce sont des choses qui ne sont pas faciles, mais nous devons passez par là avant de guérir et de pouvoir faire ce que l’on a à faire.
Qu’est-ce que le sport que vous pratiquez peux apporter à la paix aujourd’hui?
Pour l’instant, pour moi, le sport est un prétexte. C’est un des meilleurs prétextes parce que le sport n’a pas de barrière. Il permet de rassembler tout le monde. A travers le sport, on rencontre beaucoup de gens. Le sport à fait connaître la Centrafrique à travers diverses compétions et je pense que l’on peut rassembler les gens à travers le sport. Cela s’est fait ailleurs, cela peut se faire chez nous par la grâce de Dieu, il faut avoir la motivation. Pour nous, c’est un prétexte, afin de pouvoir redonner ce que nous avons eu.
Pour vous et vos coéquipiers, quel est le mot que vous adressez aux Centrafricains de tous bords?
Le mot c’est le pardon. C’est quelque chose qui n’est pas naturel. Ce n’est pas facile. Il faut un engagement. Tout commence par le pardon qui va amener à une réconciliation et qui pourra amener la paix. Je ne suis pas un donneur de leçon, je parle humblement, comme un fils de ce pays. Je souhaite la réconciliation et le pardon pour tout un chacun afin de parvenir à la paix.
Par Luidor Nono - 17/06/2014
Football : un rappel à l'ordre de la Ligue de Bangui
Le président de la Commission sportive et de discipline (CSD) de la Ligue de Bangui, Napoléon Biakota, appelle les amoureux du football au respect de la « main courante » du Stade Barthélémy Boganda, l'espace réservé aux 22 acteurs, joueurs en compétition, entraîneurs et aux officiels du match.
Napoléon Biakota explique que l'accès à la main courante n'est pas autorisé à n'importe quelle personne. « La main courante est un espace réservé aux acteurs qui jouent », a-t-il rappelé, regrettant que cet espace soit parfois envahi par des hommes en uniforme, des dirigeants ou des supporters. « Il y a pourtant les gradins où ils doivent s'installer pour regarder le match afin que ce dernier se déroule dans de bonnes conditions », a dit M. Biakota.
Toujours selon le président de la CSD, les textes doivent être strictement appliqués. « Dorénavant, la Commission sportive et de discipline (CSD) va appliquer les textes. Selon l'article 75 du code disciplinaire, l'invasion du terrain par les dirigeants et supporters d'un club est sanctionnée par une amende de 50.000 CFA », a-t-il rappelé.
Football toujours, les derniers matchs en retard du championnat aller de la Ligue de Bangui en 2e division se sont déroulés dimanche après- midi au Stade Barthélemy Boganda.
Université football club de Bangui (UFCB) a battu Espoir club de Bégoua (ECB) par forfait, 3 buts à 0. Kpéténé Star s'est incliné 2 buts à 3 devant Don Bosco.
Les autres matchs en retard sont programmés pour cette semaine à partir de jeudi, en deuxième et première division, au Stade Barthélémy Boganda.
Jeudi, à 14 heures, Jeunesse Sportive de Boeing (JSB) affrontera Saïdou Sport. Le même jour, 16 heures, Asset de Gobongo rencontrera Association sportive des postes et télécommunication (ASOPT).
Mondial: les coupures d’électricité troublent la fête à Bangui
Les amoureux du ballon rond de certains quartiers de Bangui se plaignent des pannes d’électricité, un jour après le coup d’envoi de la 20e édition de la coupe du Monde au Brésil.
Ils n’apprécient pas le délestage effectué par la société nationale d’électricité (ENERCA) aux heures des matchs.
« Selon le calendrier de la coupe du Monde 2014, la plupart des matchs se jouent la nuit. Dans ce cas, comment les gens vont faire pour suivre ces matchs dans leurs localités ? Nous payons les abonnements, mais ne voyons pas les matchs ! », disent-ils.
Pour le directeur commercial de l’ENERCA, Yvon Fon, la société s’efforce de satisfaire ses clients malgré ses multiples difficultés. La société réfléchit en ce moment sur des stratégies visant à rectifier le tir, selon lui. « Hier, nous avons été obligés de faire tourner notre centrale thermique pendant deux heures de temps. Je crois que certains de nos compatriotes qui ont l’habitude d’avoir l’électricité tard au-delà de 22 heures étaient surpris hier d’avoir l’électricité à 21 heures, juste au moment du démarrage du match inaugural», a précisé Yvon Fon.
Mercredi dernier, le Premier ministre André Nzapayéké avait appelé les Centrafricains à profiter de cet événement sportif mondial, pour faire la paix entre eux. « Le monde entier est uni autour d’un seul roi qui s’appelle le football. Les évènements des mois de juin et juillet nous offrent une occasion unique d’entrer réellement dans un processus durable de stabilisation de notre pays », avait estimé le chef du gouvernement.
Le Ministre Léopold-Narcisse Bara demande à la jeunesse centrafricaine une prise de conscience
Le Ministre de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture, Léopold-Narcisse Bara a demandé à la jeunesse centrafricaine une prise de conscience pour la reconstruction de notre pays qui traverse une période difficile de son histoire, lors de l’installation du Comité d’organisation de l’élection des membres du bureau exécutif du Conseil National de la Jeunesse (CNJ), vendredi 13 juin 2014 à Bangui.
Le ministre Léopold-Narcisse Bara a exhorté les membres du comité d’organisation d’être apolitique et de travailler dans l’intérêt supérieur de la nation.
Le Président du comité d’organisation des élections des membres du bureau exécutif du CNJ, Thierry Vackat a fait un plaidoyer auprès du gouvernement et de la Communauté internationale en vue de la mobilisation des ressources nécessaires à l’organisation du scrutin des nouveaux membres du CNJ
Il faut noter l’installation des membres de ce comité d’organisation du bureau exécutif du Conseil National de la Jeunesse s’est déroulée en présence des représentants des organisations internationales.
Football : les Centrafricains regrettent l’absence de leur équipe au Brésil
L’événement sportif tant attendu, le Mondial 2014, démarre ce jeudi à 21 heures, heure de Paris et 22 heures, heure de Bangui en Centrafrique. L’ouverture de la 20e édition de la coupe du monde oppose le Brésil, pays organisateur à la Croatie.
Malgré l’absence des Fauves de Bas Oubangui éliminés lors des matchs de poule, les Centrafricains vont suivre cette coupe du monde 2014 du 12 juin au 13 Juillet prochain.
Les opinions divergent parmi les supporters centrafricains. Certains regrettent l’absence de l’équipe centrafricaine. Ils estiment qu’il faut avoir l’esprit de fair-play comme le souligne celui-ci, « J’aurais aimé que la Centrafrique soit présente, mais dommage on joue le fair-play et on souhaite beaucoup de chance aux équipes africaines telles que le Ghana, la Cameroun, la Cote d’Ivoire qui pourraient porter les couleurs de l’Afrique ».
D’autres par contre nourrissent l’envi de voir la coupe être maintenue par une équipe qui n’est pas d’Afrique. C’est le vœu de Centrafricain rencontré ce matin à Bangui, « Je souhaiterais que le Brésil en tant que pays organisateur remporte la coupe ».
Au-delà, nombreux sont les Centrafricains qui se plaignent de ne pas pouvoir regarder les matchs à cause du décalage horaires entre le Brésil et la Centrafrique. « Je suis déçu du fait que les matchs se déroulent à des heures tardives ne permettait pas aux Centrafricains de bien les suivre », déplore ce jeune sportif.
Cinq équipes africaines représentent le continent au Brésil.
Parmi ces ambassadeurs figurent la Cote d’Ivoire, le Ghana, le Cameroun, l’Algérie et le Nigeria, champion d’Afrique. Deux pays africains parmi les cinq ont disputé par le passé les quarts de finale du mondial. Le Cameroun en 1990 et le Ghana lors du mondial sud-africain en 2010.
Le rêve de ces cinq représentants africains est d’atteindre pour la première fois les demi-finales. Aucune équipe africaine n’a franchie cette étape depuis la première édition de cette coupe du monde en 1930.
Le Brésil détient au jour d’aujourd’hui le record des trophées de la coupe du monde depuis sa création. Ce pays de football a remporté la coupe en 1958, 1962, 1970, 1994 et 2002.
La coupe du Monde Brésil 2014 est organisée par le pays du footballeur Pelé, de son vrai nom Edson Arantes do Nascimento.
CAF: 40 entraîneurs centrafricains bientôt formés en licence C.
Les futurs techniciens du ballon rond vont pouvoir prétendre entraîner à l’étranger
La Confédération africaine de Football (CAF) va dispenser une formation en licence C à quarante entraîneurs centrafricains, a annoncé, à Bangui, le Directeur technique national de la fédération centrafricaine de football. Jean Jacques Ombi qui s’exprimait lors de la remise de formulaires pour une telle formation aux responsables de l’amicale des entraîneurs, a expliqué qu’avec la licence C de la CAF les techniciens vont pouvoir prétendre entraîner à l’étranger.
Parmi les 40 techniciens visés pour la formation, deux, à savoir Dieudonné Mongolobao et Etienne Kopo, sont détenteurs d’attestations de la licence C et ils n’auront qu’à les faire valider pour disposer d’authentiques sésames. «Les formulaires remis aux responsables de l’amicale des entraineurs vont leur permettre de désigner les entraîneurs réunissant ces conditions: être expérimenté, avoir un club et des références», a expliqué Jean Jacques Ombi. Décrivant les différentes étapes à suivre, il a relevé qu«’une fois les formulaires remplis nous les renvoyons à la CAF pour être validés. Et les experts de la CAF viendront à Bangui pour évaluer ces 40 entraineurs après la formation subie».
A en croire le directeur technique national, c’est une bonne nouvelle pour les entraineurs locaux de beaucoup travailler et de mettre un peu de sérieux dans tout ce qu’ils feront. «Parce que, souligne-t-il, le football évolue et nous devons également évoluer au niveau des papiers ou références». Actuellement, la RCA dispose seulement de deux entraineurs internationaux: Jean Jacques Ombi, titulaire d’une licence C et Hervé Loungoundji, détenteur d’une licence B.
L’athlète Prince Yangou Bitikpagui inhumé ce samedi au cimetière de Ndress
C’est ce samedi que l’ancien champion national de 100 mètres et athlète international Junior surclassé, Prince Yangou Bitikpagui, sera inhumé au cimetière de Ndress à Bangui. Les obsèques ont lieu au domicile familial situé au quartier Bazanga dans le 5e arrondissement. La dépouille va être conduite au Complexe Sportif Barthélemy Boganda pour la cérémonie officielle.
Prince Yangou Bitikpagui est décédé le 30 mai dernier.
Qui est Prince Yangou Bitikpagui ?
Il est né le 02 septembre 1995 à Bangui en République Centrafricaine. En 2006, il participe aux jeux scolaires et universitaires organisés à l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) où il remporte les 100 mètres en 11’’80. Il est, dès lors, identifié par l’entraîneur Saturnin Kaïgandji et rejoint son club, le Transport commerce service (TCS). Il participe en 2007 à sa première compétition sur la piste du Complexe Sportif Barthélémy Boganda. Il est classé 3e au 100 mètres avec 11’’24. Il remporte par la même occasion les 400 mètres et bénéficie d’une médaille en or.
En mai 2008, il participe à la formation des entraîneurs initiée par la Fédération internationale d’athlétisme amateur (IAAF).
Entre 2008 et 2009, il est encadré par le coach Anderson Ouamonguéné, et remporte toutes les compétitions sur piste (meeting, UJC, Moov, Telecel, Areva, Festi-univ, Orange, ligue de Bangui, finale nationale).
Prince Yangou Bitikpagui est élu meilleur athlète sur les 100 et 200 mètres en 2010-2011. Il maintient sa performance jusqu’en 2013, et effectue sa première compétition internationale en représentant la Centrafrique à Moscou le 28 juin de la même année aux côtés de l’athlète Victoire Mandaba sur les 100 et 200 mètres.
De retour à Bangui, il est battu par l’athlète Ulrich Alazoum aux 100 mètres, 10’’53 contre 10’’57.
Football : l’équipe nationale en quête d’attaquants
L’attaque des Fauves du Bas-Oubangui, l’équipe centrafricaine, connait des difficultés. Les Centrafricains ont perdu face aux Bissau- guinéens 3 buts à 1, le samedi 31 mai à Bissau lors du match-retour du premier tour des préliminaires de la Coupe d’Afrique des Nations 2015 (CAN 2015) qui se jouera au Maroc.
Le directeur technique national de la Fédération centrafricaine de football (FCF), Jean-Jacques Ombi, reconnaît le manque de d’efficacité des attaquants pendant les dernières rencontres des Fauves à l’extérieur du pays. Il propose au staff technique et au bureau exécutif de réfléchir ensemble sur la question.
« Nous avons effectivement des problèmes d’attaquants (…) Ils n’arrivent pas à marquer un seul but, je crois qu’il y a un travail que nous devons faire à ce niveau », a indiqué Jean-Jacques Ombi. « Maintenant, il faut chercher de nouveaux attaquants, au niveau local ou parmi la diaspora. Nous allons faire un travail dans ce sens avec le comité exécutif pour sensibiliser et voir dans quelle mesure nous pouvons (trouver) ces attaquants pour les matchs à venir », a-t-il ajouté.
Parlant du même sujet, l’international Charly Doupékoulougney, qui évolue dans le club Vita à Malabo, en Guinée Equatoriale, suggère également que de nouveaux attaquants soient formés, en mettant l’accent sur les joueurs locaux.
Basketball Centrafricain: Assemblées ordinaires et électives reportées aux calandres grecques
Selon les propos de la responsable de communication sur son mur Facebook, le motif invoqué était "Faux et usages de faux" constatés sur les mandatures des représentants des ligues de provinces, qui ont pour coutume de faire et défaire les présidents de la fédération Centrafricaine de Basketball. Encore une fois, le secrétaire général adjoint de la fédération Monsieur Narcisse Dekezandji très actif dans ce complot a confondu vitesse et précipitation. Pour quelle raison ???
Pourquoi le Secrétaire Général de la fédération, actuellement président par intérim selon les statuts ne fournit pas aux médias de la place un communiqué officiel, expliquant les motifs de ce énième report, mais surtout aux différents candidats pour prendre acte de cette décision ??? Les paroles s'envolent mais les écrits demeurent cher président par interim.
Le cataclysme que vous et nous venons de décrier haut et fort ne date pas d'aujourd'hui, et comme vous pouvez le constatez, nous avions eu au moins le courage de leur dire le fonds de nos pensées pour faire grandir notre sport sans souvent se cacher autour des discussions de quartiers. Le comble de cet équivoque, demeure le silence de tous les dirigeants sportifs et amoureux de cette discipline qui ne veulent pas en decoudre avec ces veilles pratiques pour de multiples raisons, dont la PEUR, l'égoïsme, le mépris et l'indifférence font partie, exiger l'assemblée ordinaire.
Au silence des passionnés s'ajoute le mutisme de l'ensemble du bureau fédéral démontrant une fois encore l'étendue de leurs incompétences, leurs manques de bon sens et surtout leurs impréparations dans cette mascarade d'assemblée générale élective, qui ne pourrait avoir lieu sansL'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE, afin que leur bureau actuel présente leurs bilans d'activités de mi-mandat. Sinon pourquoi adresser des rapports rafistolés aux présidents de clubs si ce n'est pour eclairer leurs lanternes.
Même si les approximations ne sont plus à démontrer, les candidats aux différents postes à l'exemption de Monsieur Guy Maurice LIMBIO qui d'entrée de jeu a clairement martelé ses objectifs, AU LIEU DE RENDRE PUBLIC LEURS PROGRAMMES ET PROFESSIONS DE FOI, se taisent dans une fébrilité qui ne dit pas son nom et qui fait peur, face aux grands enjeux et reformes que requierent notre sport national pour sortir de sa turpitude. Le basketball centrafricain ne se relèvera qu'avec des hommes dignes de bonne foi, probes et intègres où aucuns arrangements de quartiers ne montreront la vision transparente, et surtout le cap à atteindre pour entrainer la révolution nécessaire attendue.
De tels comportements poussent notre défense anti aérienne à s'interroger, s'ils auront l'audace une fois leurs rêves atteints, d'affronter un jour les Dieux du Sport Centrafricain pour leurs demander le rapport technique et financier ???, mais surtout le remboursement des frais de missions indument perçus 800 000 FCFA chacun par Monsieur Gilles Gilbert GRESENGUET et Monsieur Adolphe MOKONGO, notre, pharmacien, médecin, kinésithérapeute, vice président de la Fiba zone IV et Trésorier du CNOSCA ??? La lourde tâche vers la lumière financière au sein du basketball Centrafricain ne doit offrir aucune place aux improvisateurs, situationnistes, et autres véreux sans visions, habitués des coups bas et changement régulier de vestes selon le sens du vent pour s'accrocher au bon wagon.
Les exemples des combats à mener sont nombreux à l'image du flou sur la gestion des 22 millions FCFA remis par l’état centrafricain pour la sortie du club TONDEMA à Kinshasha et la dernière subvention allouée par la solidarité olympique environ 65 millions FCFA, des déclarations mensongères opposées aux règlements de la FIBA du vice président de la zone IV et du Secrétaire Général de la fédération à la radio qui ne figurent guère dans le document joint ( règlement FIBA 2010-2014) préméditant une volonté haineuse à se séparer des entraîneurs, et le mariage de certains dirigeants avec le CNOSCA qui logiquement n'a plus aucune légitimité de diriger cette instance olympique nationale.
L'histoire aujourd'hui a rattrapé beaucoup qui nous déconseillaient de notre insurrection pour nous mener dans des pièges à rats en nous orientant d'attendre les assemblées ordinaires pour débattre de tous ces maux. Hélas, d'après les constats, on ne veut plus entendre parler de l'assemblée ordinaire au bénéfice de l'assemblée élective, dont les raisons de choix qui mènent à l'abreuvoir ne sont ou ne seront pas clarifiées. Le tout sous le silence absolu des responsables des clubs méconnaissants les lignes des textes, qui ont lu les rapports incohérents de mi mandat dans lesquels sont totalement omis les aspects de la subvention olympique et leurs conséquences. Comment alors comprendre ce volte face de ne pas exiger d'abord
L'assemblée ordinaire pour neutraliser ce capharnaüm à travers des dispositifs d'éloignements de ces fauteurs de troubles et leurs acolytes qui sont obnubilés que par l'assemblée élective ???
Avec ce report à la demande de la ligue de basketball de Bangui qui a formulé une missive claire de sommation au bureau féderal (voir PJ) dont le secretaire général Monsieur LEDO Bob a fait savoir au trésorier de la féderation sur les ondes de la radio Ndeke luka dans sa méconnaissance des textes et fuite en avant face aux réelles interrogations, démontre que faire le bilan de leurs mandatures préalables à une quelconque élection est d'entrée la priorité des priorités et un pré-requis moral.
On s'interroge finalement sur la tenue fort désirée des assemblées ordinaires et électives, qui initialement précipitées et prévues le 17 Mai 2014 auraient eu lieu sans un comité de validation des mandatures. Nul n'aurait été la cascade de démissions des 1er et 2ème vice présidents ce recul express serait il du à une tête pensante qui est indésirée par les membres actuels du bureau fédéral qui se retrouveraient coincer par une injonction judiciaire à payer !!!
Lucien MBOMBA DÉBAT
Tournoi de Basketball Da Saints Day de Toulouse.
Le tournoi de Basketball Da Saints Day de Toulouse a eu lieu le samedi 31 mai au dimanche 1er juin au gymnase Leo Lagrange de Toulouse.
La formation Centrafricaine renforcée par les internationaux Martial Gotagni et William Kosangué manque de bol, a fait profil bas en perdant un total de 2 matchs disputés sur 3 cet après-midi face à la redoutable équipe des Akatsuki. Une triste défaite qui nous a disqualifié pour prendre part au 8eme de finale qui débutera demain. Notre équipe solidement composée autour de cinq anciens fauves ( Hassan Abdoul, Sal Kabara, Patrick Doubro, William Kossangue, Antonio Kouloumba ) solidement supérieurs sur les plans techniques individuelles s'est fait surprendre par par la ténacité des adversaires et d'une manque de cohésion de notre groupe associés à un temps de jeux ( 2 X 10mn) chrono coulé qui ne leur a pas laissé le choix de revenir au score malgré leur détermination. J'espère de tous cœur que demain lors des concours de smashs et de tirs à 3pts, Doubro et Salissou se doteront de tous les moyens en leur possessions pour faire bonne figure à l'honneur de notre Centrafrique.
N.B: la tristesse était palpable sur tous les visages des joueurs Centrafricains qui espéraient faire une bonne prestation cette année,
et des fans venus de divers horizons les soutenir. Le plus dur pour moi également a été de voir les yeux de mon petit William Kosangué qui était très engagé dans cette rencontre et du fils à Cyrille Kamayengué ( Mac grady) remplis de larmes au coup de sifflet final sur le banc de touche.